Un samedi ensoleillé, quatre heures de l'après-midi et les
maquilleurs sont les premiers à arriver sur la place Juan Manuel de Rosas. Sur
une petite table, ils exposent des pots avec des crèmes colorées et des paillettes
pour mettre de la couleur, des dessins et des phrases sur le visage des filles
et des garçons qui commenceront à s'approcher pour demander des papillons, des
fleurs, des cœurs et des messages d'amour.
Quelques minutes plus tard arrivent les drags Queens Mia et Anastasia, qui, avec leur apparence, marquent le point de rencontre. Habillées de plates-formes en cuir verni, de perruques colorées, de bas résille et de leggings noirs, elles donnent du volume à un orateur puissant qui divertit le précédent avec de la musique pop et se consacre à accueillir avec gentillesse les personnes qui approchent.
C'est une assemblée tranquille, sans chichi, à voix basse, respectueuse. La première marche LGBTI Pride (lesbiennes, gays, bisexuels, transsexuels, intersexuels) est sur le point de se dérouler à Escobar, depuis le mois de mai, organisée par le groupe local Libres, Unions y Diverses, l'Association of Transsexuel Travesties et Transgenres d'Argentine (ATTTA), le Front de la diversité sexuelle du péronisme militant et du mauvais conseil d'administration, entre autres.
C'est une assemblée tranquille, sans chichi, à voix basse, respectueuse. La première marche LGBTI Pride (lesbiennes, gays, bisexuels, transsexuels, intersexuels) est sur le point de se dérouler à Escobar, depuis le mois de mai, organisée par le groupe local Libres, Unions y Diverses, l'Association of Transsexuel Travesties et Transgenres d'Argentine (ATTTA), le Front de la diversité sexuelle du péronisme militant et du mauvais conseil d'administration, entre autres.
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